LA CONSERVERIE est un fonds iconographique dédié à la photographie vernaculaire dont les images sont le fruit des dons au Conservatoire National de l'Album de Famille. Mais c'est également un lieu d’exposition de travaux d’artiste, une maison d'édition, un centre de ressource dédié à la photographie amateur ainsi qu'une librairie. Elle est portée par l'association C'était où ? C'était quand ?.


L'AUTOBIOGRAPHIE COMME MENSONGE


METZ - 2017

21x29,7cm, 292 pages

 

Élaboration de l'édition "L'Autobiographie comme mensonge", retranscription d'un cycle d'ateliers mis en place par la Conserverie. 

 

"Après deux ans d’ateliers, 310 rencontres, 310 textes écrits par des enfants, des adolescents, des adultes. Après des mois de numérisation de ces mots, de ces photographies. Après l’exposition au mois de mai 2017 à La Basilique Saint Vincent (Metz) de la totalité de ces productions. Le Livre l’Autobiographie comme mensonge arrive à La Conserverie."

Anne Delrez

 



2. SE TENIR


METZ - 2017

14,5x20cm, 68 pages

 

Élaboration de l'édition "Se Tenir", ouvrage issu d'une collecte photographique initiée par Anne Delrez en 2015.

 

"S’attraper au paysage, se retenir à lui par une branche. Se tenir à une haie, à un tout petit arbuste, à une feuille. Juste de tenir. Comme une béquille. Dans certains albums, ce geste est une pose sans cesse répétée comme une gêne sans cesse rejouée. Dans ces images, ces mains agrippées semblent parler de celui qui photographie, celui qui attend que l’autre trouve sa place, se tienne droit, ne chavire pas... pour lui." 

Anne Delrez

 

 



1. L'ALBUM ÉTALON


METZ - 2016

25x19cm, 68 pages

 

Création de la charte graphique des "Éditions de la Conserverie", et élaboration de la première édition de la série : "L'album Étalon".

 

“Ils se nomment il, elle, leurs enfants, leurs amis et leurs copains. Au creux de cette couverture en simili cuir rouge, c’est leur présent, leurs morceaux choisis, leurs légendes douces et drôles. Ces enfants tête entrée dans le cou, ces amis entrelacés, ces corps en pique nique, cette famille trop nombreuse pour la cuisine, ces jeunes garçons en chausson, ces pêches à la grenouille, ces écharpes brodées d’initiales et ce baiser flou. Chez il, elle, leurs enfants, leurs amis et leurs copains, on se fait des oreilles d’âne, on se tient aux feuilles et aux branches, on va aux fêtes patronales et on laisse glisser son ombre sur la photographie.“ 

Anne Delrez